Jean-Baptiste Sirugue voit le jour en 1782. Ce militaire est l’un des hôtes attachants peu connus du public, vestige de la gloire du Premier Empire. Il s’illustre comme artilleur en Prusse en 1806, en Pologne en 1808, en Autriche en 1809, en Espagne en 1810-1811, en Russie en 1812. On le fait prisonnier le 16 août 1812. Mais, il parvient à s’échapper le 22 septembre. Il revient en France avec le maréchal Lefèbvre, qui le prend dès lors à son service.
Il s’éteint en 1854 et repose à droite de son protecteur.
Sources : Dictionnaires des militaires français (1790-1870). Date de création : 2007-05-05.