Jean Monod voit le jour le 5 septembre 1765, à Genève (Suisse). C’est le fils de Gaspard Joël Monod (Genève 1717 – Ambilly 1782), pasteur consacré par l’évêque de Rochester, citoyen de Genève, et de Suzanne Puerani (Genève 1737 – Copenhague 1799).

Jean Monod devient pasteur de l’église réformée française de Copenhague où il épouse, le 18 janvier 1793, Louise de Coninck. Celle-ci, fille de Frédéric de Coninck, est une danoise d’origine franco-néerlandaise. En 1808, ils s’installent avec leurs huit enfants à Paris. Ils en auront encore cinq.

Jean Monod devient président du Consistoire réformé de Paris, pasteur à l’église Saint-Louis-du-Louvre, puis, en 1811, au temple protestant de l’Oratoire du Louvre.

Il meurt le 23 avril 1830, à Paris. Il repose avec sa femme, Louise Philippine de Coninck (1775-1851), son fils, le pasteur Frédéric Monod (1794-1863), son autre fils, Adolphe Monod (1802-1856), pasteur lui aussi, et sa petite-fille, la féministe Sarah Monod (1836-1912).

Sources : Wikipedia. Date de création : 2022-11-25.

En haut du monument figure un livre en pierre avec l’inscription « La sainte bible, Crist est grand, et la mort n’est […] ».

Inscriptions :

Jean MONOD, né à Genève, le 5 7bre 1765, mort le 23 avril 1830, président du Consistoire, de l’église réformée, de Paris, dont il fut pendant 28 ans, le pasteur respecté et chéri.
Louise Philippine de CONINCK, veuve MONOD, née à Copenhague, le 25 décembre 1775, décédé à Paris le 4 mars 1851.
Je t’ai racheté ; tu es à moi. Isaïe. XLIII.1.

Adolphe MONOD, pasteur de l’église réformée, né à Copenhague, le 21 janvier 1802, mort à Paris, le 6 avril 1836. La mort a été […] par la victoire.
Hannah HONYMAN veuve Adolphe MONOD, 30 septembre 1799 – 23 octobre 1868. Dieu est amour I. Jean IV 8.
Frédéric MONOD, pasteur de l’église réformée, 1819-1849, pasteur de l’egl. ref. evang. de Paris, 1849-1863, né à Monaz (Suisse), le 17 mai 1794, mort à Paris le 30 décembre 1863. J’ai combattu le bon combat : J’ai, achevé ma course : j’ai gardé la foi. 2 Tim. IV 7.

J’ai le cœur déchiré à cause de vous… Mais pour moi je suis heureuse ! Je m’appuie sur mon bon sauveur, qui m’a tant aimée, il me tend les bras, et je vais vers lui.
Dernières paroles de, Marie Louise Constance MONOD, née de CONINCK, entrée dans cette vie le 12 7bre 1803, entrée dans la gloire le 13 8bre 1837.
Arthur MONOD, né le 24 mars 1845 mort le 7 9bre 1846.
Edouard – 17 mai 1842.
Olivier, 25 novembre 1869 – 20 juillet 1872. (Me voici car tu m’as appelé) 1.Sam III 6.
Susan SMEDLEY, (Veuve de Frédéric MONOD), 14 juin 1808 – 21 nov. 1867. Heureuse est celle qui a cru, car les choses qui lui ont édites de la part, du Seigneur auront leur accomplissement. Luc I.45.

Adolphe Frédéric STAPFER. Dieu nous l’avait donné le 7 juin 1836, Il nous l’a redemandé le 20 mars 1837. Sa possession m’est échue dans des lieux, agréables et un très bel héritage m’est échu. Psaume XVI.V.6.
Constance STAPFER, née le 17 morte le 30 juillet 1846. Cette petite fille n’est pas morte mais elle dort. Marc V.39.
F.H.O. Valdemar MONOD, né à Copenhague, le 7 janvier 1807, mort à Paris le 28 juin 1870. (L’éternel est mon berger). Psaume XXIII.V.1er.

Louis Noel Rodolphe MORIN, 25 dec. 1873 – 15 nov. 1875. L’âme de l’enfant est à moi. Ezech. XVIII.5.
Marie Henriette, MONOD, donnée le […] janvier, rappelée le 10 janvier 1850. Ne pleurez pas car elle n’est pas morte mais elle vit. Luc X.III
Marie Henriette Louise, MONOD, Dieu nus l’avait donnée le 25 janvier 18[..], il nous l’a rappelée à lui le 11 mars 1835. Elle ne reviendra pas vers vous, mais c’est vous qui irez vers elle. 2. Samuel XII.25.

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