GIQUEL Henri (1882-1963)
France

Henri (Louis) Giquel voit le jour à Vannes (Morbihan), le 2 avril 1882. Il devient comédien et metteur en scène. Il décède à Paris, le 8 septembre 1963. Il est bien oublié de nos jours, il fut pourtant bien souvent à l’affiche avec une carrière bien remplie.

Théâtre :

  • Le Complexe de Philémon de Jean Bernard-Luc, mise en scène de Christian-Gérard (1963), Blaise ;
  • Mic-mac de Jean Meyer, mise en scène de Jean Meyer (1962), Gustave ;
  • La Coquine de Diego Fabbri, mise en scène de Jean Meyer (1961), Le Garçon de café ;
  • La Nuit du 9 mars d’après Harald Bratt, mise en scène d’Henri Soubeyran (1960) ;
  • Les Quatre Murs de Renée Barell, mise en scène de Jean-Paul Cisife (1960) ;
  • Oncle Vania d’Anton Tchekhov, mise en scène de Sacha Pitoëff (1959) ;
  • Trésor-party de Bernard Regnier (1959) ;
  • Éboulement au quai nord d’Ugo Betti, mise en scène de Marcelle Tassencourt (1958) ;
  • La Nuit romaine d’Albert Vidalie, mise en scène de Marcelle Tassencourt (1957) ;
  • La Monnaie de ses rêves d’André Ransan, mise en scène de René Rocher (1955) ;
  • La Tueuse d’André-Paul Antoine, mise en scène de René Rocher (1955) ;
  • La Condition humaine, d’après André Malraux, mise en scène de Marcelle Tassencourt (1954) ;
  • Le Dialogue des carmélites de Georges Bernanos, mise en scène de Marcelle Tassencourt (1952) ;
  • Autrefois j’avais des moustaches de Robert de Thiac, mise en scène de Marie Valsamaki (1951) ;
  • Les Maîtres-nageurs de Marcel Franck, mise en scène d’Émile Dars (1950) ;
  • Jedermann d’après Hugo von Hofmannsthal, mise en scène d’Alfred Penay (1943).

Mises en scène :

  • Et les femmes n’en sauront rien de Paul Derval (1955) ;
  • Sleeping-Party d’André Mouëzy-Éon (1955) ;
  • Que personne ne sorte ! d’après Pierre Chambard (1936).

Merci à Thierry Engels pour cette découverte.

Sources : -. Date de création : 2021-07-14.

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Date de la dernière mise à jour : 16 août 2021