Edmé Adolphe Garet voit le jour le 4 mars 1826, à Leugny (Yonne). C’est le fils de Jean Hubert Garet, avocat, et de Louise Florestine Petit, son épouse.

Ingénieur des Ponts-et-Chaussées, il travaille d’abord au service hydraulique de l’arrondissement de Brest (Finistère), en 1851. Là, il participe aux travaux du Pont Napoléon, disparu depuis. Puis il passe à la compagnie des chemins de fer de l’ouest, pour les travaux de la ligne de Brest à Saint-Malo, en 1855-1957.

Il entre ensuite à la compagnie des chemins de fer Paris Lyon Méditerranée où il finira sa carrière comme ingénieur en chef, au service de l’entretien des voies. Il décède le 22 juillet 1898.

Distinctions : chevalier (8 août 1869), officier (5 juillet 1882) de la Légion d’honneur.

Sources : Base Léonore (Légion d’honneur). Date de création : 2016-03-30.

Le monument en granit rose est orné de la sculpture d’une pleureuse bien abimée (décapitée, elle a en plus perdu un bras !) et de deux médaillons, œuvres d’Alexandre Charpentier, en marbre. Il est signé par l’entrepreneur L.A. Batie.

Inscriptions : 

A. GARET, ingénieur des Ponts et Chaussées, ingénieur en chef à la Cie P.L.M., officier de la légion d’honneur, 4 mars 1826 – 22 juillet 1898.
E. MATHON, 10 juin 1922.

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